Samedi 12 décembre. Nous voilà de nouveau en Camargue. Après une balade matinale en bord de mer, qui fera l’objet d’un autre article, nous retournons au site où un Busard pâle traine depuis le 20 novembre. Les observations sont pratiquement quotidiennes depuis. Arrivés vers 11h30, il nous faut patienter une heure pour le voir passer rapidement, loin et à contre-jour…
Samedi 28 novembre. Après un long été indien et des températures clémentes, le froid est arrivé en Provence. Suite aux quelques virées calmes en Camargue en octobre, les marais s’animent à nouveau. Nous arrivons vers 8h30, le vent n’est pas encore trop fort et les conditions d’observation presque agréables. Première étape : le mas des Charlots où stationne un mâle de Busard pâle depuis une semaine, le même individu que nous avions déjà observé en début d’année. Nous lui avons d’ailleurs consacré un article. Mais ce n’est pas le seul rapace à profiter de ces champs fauchés. Une Buse est postée sur un arbre mort lointain, quelques Busards des roseaux longent les haies, ainsi que deux Busards Saint-Martin, un mâle et 1 type femelle, qui resteront malheureusement trop loin de l’objectif.
Depuis le vendredi 20 novembre, un mâle de Busard pâle est présent sur le secteur du Mas des Charlots, site fréquenté en début février de cette année par un mâle subadulte. Il s’agit très vraisemblablement du même individu reconnaissable avec sa marque ocre caractéristique sur le sommet du crâne. L’hivernage du busard pâle, espèce migratrice, a lieu sur toute la…
Une belle balade automnale sur les crêtes de la montagne de Lure. Fin de journée sur Lure 23 et 24 octobre 2015 Le week-end s’annonce beau et la météo particulièrement clémente pour cette fin octobre. Un temps idéal pour partir balader sur les sommets de Provence. Cette semaine ce sera la Montagne de Lure ! Nous arrivons en fin d’après-midi…
Vendredi 31 juillet
Au réveil, les oiseaux sont assez calmes. Seul un petit groupe de Francolins s’anime dans la zone de savane autour de nous et nous poussent à sortir du duvet. Nous constatons que nous ne sommes qu’à quelques centaines de mètres du massif granitique du Spitzkoppe. Celui-ci s’éclaire petit à petit au fur et à mesure que le soleil dépasse l’horizon. Les couleurs rougeoyantes du soleil matinal illuminent la roche rouge. Le site est d’une beauté rare et il y règne une ambiance de quiétude.
Mais il faut revenir à des considérations plus terre à terre. Le problème d’hier soir n’est toujours pas résolu. Le lit de la rivière nous fait toujours face. Nous hésitons quelques minutes puis après avoir vérifié la résistance du terrain, nous finissons par nous élancer avec la voiture, et …