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Retour de Hongrie

Alors que les records d’observations de Faucon kobez sont atteints en PACA avec un pic de 105 en migration à Bellet (06), nous avons, pour notre part, décidé d’aller les observer sur leurs sites de reproduction en Hongrie. Nous voilà donc de retour d’une semaine de vacances dans la puzta et les grandes hêtraies hongroises, avec un peu plus de…

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Une hirondelle ne fait pas le printemps

Chaque printemps, nous assistons au retour des hirondelles, grandes migratrices trans-sahariennes, qui, l’hiver venu, rejoignent des contrées plus clémentes où elles trouveront les ressources nécessaires pour s’alimenter. Aussi, avons-nous coutume d’interpréter nos premières observations comme le signe annonciateur des beaux jours. Pourtant … une hirondelle ne fait pas le printemps. Cette expression apparaît dans l’Ethique à Nicomaque d’Aristote, au livre…

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Photothèque Oiseaux

Notre photothèque sur les oiseaux est à jour, il ne reste plus qu’à photographier de nouvelles espèces ! n’hésitez pas à la visiter en cliquant sur le lien ci-dessous ! Oiseaux du monde Partez à la découverte des oiseaux du monde ! Nous avons choisi de les ordonner selon la classification, une bonne méthode pour réviser les familles et les…

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Yves Paccalet, Eloge des mangeurs d’hommes

yves-paccaletNous traversons actuellement ce que certains politiques et journalistes se plaisent à appeler une crise écologique : réchauffement climatique, érosion de la biodiversité, pollution … Cette crise est également liée à une crise de l’esprit où l’homme semble avoir perdu le sens de l’orientation : quelle est sa place au sein de la nature dont il dépend mais dont il est également le maître ? Alors que nous crions au loup et répondons aux problèmes par la destruction, nous pouvons nous demander quelle attitude adopter ? Quelle réaction l’homme doué de bon sens devrait-il avoir ? C’est dans ce contexte que Yves Paccalet, philosophe et naturaliste, publie cet ouvrage et cherche à nous rappeler à la raison. Son Eloge des mangeurs d’hommes aurait pu porter comme sous-titre “Critique des délires de l’homme moderne”. Malgré toutes ses prouesses techniques et technologiques, l’homme reste terrorisé devant l’image des grands prédateurs. Comme comprendre une telle peur alors que les chances de rencontrer de telles bêtes sont si infimes et le risque encourru si négligeable ? Cette peur des mageurs d’hommes témoigne d’un autre délire : celui de la peur de l’autre, la peur de l’étranger, littéralement la xénophobie. Enfin, nous pouvons distinguer dans ces lignes un troisième délire : celui de l’homme qui se croit hors de la nature alors qu’il scie la branche sur laquelle il est assis.

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