17 février 2018.

Toujours plus au nord, sur la route entre Koumac et Poum, une piste permet de rejoindre le petit parc de Néhoué au bord d’une rivière. La piste est déjà intéressante en soi et les oiseaux nombreux.

Piste pour le parc de Nehoué

Dans les prairies, la tête d’un dindon sauvage émerge des hautes herbes. Introduit sur la Grande Terre en 1966, le dindon sauvage (Wild Turkey, Meleagris gallopavo) est assez commun le long de la côte ouest.

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Dindon sauvage, Parc de Nehoué

Il finit par se mettre à découvert, il n’est pas seul … 2 poussins l’accompagnent.

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Dindon sauvage, Parc de Nehoué

Autre espèce introduite, le capucin donacole est également bien présent sur la zone et quelques individus se perchent sur la clôture, faisant sécher leurs ailes trempées par les averses intermittentes.

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Capucin donacole, Parc de Néhoué
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Capucin donacole, Parc de Néhoué

Alors que nous poursuivons la piste, la forêt se fait plus dense et les arbres plus hauts, d’autres espèces apparaissent. Les groupes de zostérops à dos vert vont et viennent en cherchant de la nourriture pour alimenter leurs jeunes tandis que les loriquets à tête bleue passent en criant … pas facile de les photographier ! Nous finissons par arriver sur l’aire de pique-nique déserte au milieu de hauts arbres au bord d’une rivière à l’eau claire.

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Parc de Nehoué
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Parc de Nehoué

Un roucoulement sourd me pousse à lever la tête : un Carpophage géant. Appelé ici “notou”, ce grand pigeon, endémique de la Nouvelle-Calédonie, est le plus gros pigeon arboricole du monde. Il peut en effet atteindre 50 cm de long ! Il n’est pas toujours facile de le repérer, mais, par chance, il aime chanter par temps de pluie !

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Notou, Parc de Nehoué

Un autre endémique fait une apparition furtive, juste le temps d’une image : un myzomèle calédonien.

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Myzomèle calédonien, Parc de Nehoué

 

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