Comme chaque année, entre mars et mai, la zone de la Lieurette à Hyères attire les marouettes en halte migratoire. Si, après des travaux de drainage, 2016 avait été plutôt une année mitigée (aucune poussin observée !) 2017 s’annonce en revanche très bien avec une première Marouette ponctuée dès le 25 février. Le 13 mars, c’est une Marouette poussin qui…
Direction le Port Vauban d’Antibes où stationne depuis le 25 décembre un Rougequeue noir de la sous-espèce Phoenicuroides. Cette sous-espèce niche en Chine et en Mongolie et hiverne de l’Inde à l’Éthiopie en passant par la péninsule arabique.
Rougequeue noir, ssp. Phoenicurus ochruros phoenicuroides, port Vauban, Antibes
Journée bien ventée sur la Camargue. Conditions a priori peu favorables pour l’observation ou la photo … Pourtant, à l’abri, dans une des baies de l’étang du Vaccarès, quelques prémices du printemps se font sentir. Le plumage des Goélands railleurs s’est teinté de rose, petite note de couleur dans une ambiance uniformément grise. Deux individus se livrent à une partie de pêche acrobatique à l’embouchure de Fumemorte tandis, occasion de faire une petite série d’images.
Goéland railleur en pêche sur l’étang du Vaccarès, Camargue
Voici en quelques lignes et en images le résumé de plusieurs sorties en Camargue durant ces dernières semaines. Décembre est une excellente période pour l’observation en mer. Nous avons tenté à plusieurs reprises avec des succès variables d’observer les oiseaux marins. C’est ainsi que nous avons eu notre premier Plongeon catmarin de l’hiver et avec un peu de chance car pas très loin du rivage.
Dernier jour de terrain sur les terres islandaises. Inexorablement notre parcours nous a ramené vers les environs de Reykjavik. Les conditions météos ne sont pas des meilleures, le ciel est gris et va se charger de plus en plus au fur et à mesure des heures, donnant une fine pluie par moment. Peu d’originalité concernant le programme de la journée. Comme 99,9% des touristes visitant le pays, nous allons découvrir l’incontournable «Cercle d’or » et ses trois principales attractions. Toutes sont facilement accessibles depuis la capitale. Quant aux autres sites du cercle d’or, ils s’étirent sur une boucle d’environ 300 km. Ce sera probablement pour une autre fois… Nous débutons par Thingvellir. L’approche se fait en longeant le plus grand lac islandais, le Thingvallavatn tandis que sur l’horizon, surplombant les montagnes, se dessine une large calotte glaciaire au blanc éclatant.