Balades naturalistes dans la péninsule ibérique. L’Espagne est double. Il y a l’Espagne des villes riches, des stations balnéaires et des soirées festives. Mais l’Espagne est aussi une terre sauvage aux espèces emblématiques. C’est cette Espagne que je vous invite à découvrir
12 avril. Le soleil a du mal à se lever ce matin et une épaisse brume recouvre le paysage. Nous commençons notre exploration du Delta de l’Ebre par l’observatoire de Riet Vel géré par la SEO, l’équivalent espagnol de la LPO. Les Talèves sultanes sont toujours très nombreuses ici. Nous en dénombrons une quarantaine. Certaines parcourent les champs à sec à la recherche de nourriture.
10 avril 2016. Nous quittons Gibraltar toujours sous la pluie et commençons à remonter le long de la côte. Nous prévoyons de faire plusieurs étapes avant de rejoindre la France. La première sera le Cabo de Gata près d’Alméria. Nous finissons par sortir de la perturbation et quittons l’autoroute pour rejoindre le Parc National. Le massif aride se découpe à l’horizon, flamboyant sous les derniers rayons du soleil. Nous découvrirons le site demain matin !
10 avril 2015. Pluie … nous avions prévu de passer la journée à observer la migration mais notre projet tombe à l’eau ! Nous décidons donc de nous rendre sur Gibraltar, l’enclave britannique, pour rencontrer les propriétaires du rocher : les Macaques de Barbarie.
Les bouchons sont importants pour passer la frontière (il faut vraiment être motivé pour y aller !). Les voitures sont contrôlées et, ce qui permet d’expliquer que les voitures n’avancent que très lentement, c’est la barrière juste après la douane. Pourtant il n’y a pas de voie ferrée ! Nous finissons par comprendre quand un avion passe sous nos yeux … La route traverse la piste d’atterrissage ! L’espace est optimisé ! Une fois l’avions posé, nous pouvons entrer dans l’enclave. Nous avons vraiment l’impression d’être en Angleterre, si ce n’est la conduite qui reste à droite. Il pleut, les maisons ressemblent à celles de Londres et les fameuses cabines téléphoniques rouges parsèment les rues. Nous nous arrêtons pour manger dans un petit resto : au menu fish and chips ou hamburger … le tout assez infâme … pas de doute, nous ne sommes plus en Espagne !
La pluie ne cesse pas et nous montons au rocher, classé en réserve. Les macaques sont bien là, fidèles au poste.
Observer les baleines et les dauphins dans le Détroit de Gibraltar au printemps C’est comment le whalewatching à Tarifa en avril ? Voici le compte-rendu d’une sortie. 9 avril 2016. Après avoir passé la matinée sur les hauteurs de Bolonia, nous gagnons Tarifa où nous avons réservé pour une sortie en mer avec l’agence Turmares dont nous avions été très…
9 avril 2016 Dès le petit matin, les oiseaux s’activent sur les hauteurs de la dune de Bolonia. Les rayons du soleil encore rasants mettent en évidence le relief de ce paysage d’une grande beauté. Au loin, la côte marocaine se laisse deviner tandis que sous nos yeux se déroule l’imposante dune s’évanouissant dans la mer.